Les universitaires britanniques souffrent en silence…

Une enquête du Guardian révèle que si les universitaires britanniques de stress, de dépression ou de pathologies alimentaires, deux tiers n'évoquent pas ces problèmes auprès de leurs collègues ou de leur responsable. Pour ceux qui en parlent, le soutien est souvent plus psychologique que pratique.

(Article en anglais)

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